sorry.jpg

 

 

Quatrième de couv'

 

Berlin. Tamara, Frauke, Kris et Wolf se sont connus au lycée. Dix ans plus tard, après une succession de petits boulots, de drames personnels, de défaites diverses et de blessures secrètes, c’est sans trop d’illusions qu’ils abordent la trentaine. Les choses vont néanmoins changer très vite quand ils ont l’idée de créer une agence nommée Sorry, dont l’objet est de s’excuser à la place des autres. Le succès est immédiat, ils aident des hommes d’affaires qui s’estiment s’être mal comportés envers un salarié, un associé ou une entreprise à alléger leurs remords en allant à leur place chercher le pardon auprès de leurs victimes. Tout va pour le mieux jusqu’au jour où un mystérieux assassin désireux de soulager sa conscience en obtenant l’absolution pour les horribles souffrances qu’il inflige décide de recourir aux services de Sorry. C’est le début d’une longue descente aux enfers pour les quatre amis. Pris dans un piège infernal et mortel, ils n’auront d’autre solution que de découvrir au plus vite l’identité et les mobiles de ce tueur qui les manipule et semble parfaitement les connaître. 

 

 

Mon avis

 

Quatre amis ont gardé contact après le lycée : Kris et Wolf, les 2 frères, Tamara et Franke. Mais c'est le hasard qui va les faire se retrouver tous les quatre au même endroit en même temps. Kris, qui a été licencié le matin même, leur propose alors de monter une société qui aurait pour but de s'excuser pour d'autres : chef d'entreprise lors d'un licenciement, ex petit copain ou copine, etc.

Leur petite entreprise commence doucement à se faire un nom et ils ont bientôt assez de contrats pour occuper leurs journées à tous les quatre.

Mais les choses se compliquent lorsqu'un individu leur demande de s'excuser auprès de la personne qu'il vient d'assassiner afin de se décharger de sa culpabilité. Il leur en demandera même un peu plus…

Ils mettent alors le doigt dans un engrenage compliqué qui concernent plus qu'eux quatre et duquel ils auront du mal à s'extirper sains et saufs.

 

 

Au tout début, l'auteur utilise le tutoiement, ce qui est assez étrange, mais ce n'est pas au lecteur qu'il s'adresse mais à l'assassin, Lars Meybach. Tout le long du livre, il s'adresse de temps en temps à lui de cette manière. 

 

 

Cela faisait un bon moment que je n'avais pas lu de policier / thriller et je dois avouer que ça fait plaisir d'y retourner. Néanmoins, je reste mitigée.

 

L'histoire de fond à l'origine des meurtres n'est pas très originale. Elle m'a fait pas mal penser au film Le Serpent.

 

Au moment où je rédige ma chronique j'ai même des trous de mémoires quand au dénouement de l'histoire.   

 

Je ne le conseille pas vraiment. Je me suis un peu ennuyée, cela se voit d'ailleurs à la longueur de cet article.

 

Rendez-vous sur Hellocoton !

Retour à l'accueil